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heur eusement que la journée sans ******* se situe au moi de juin
depui
Par amourslesbiens, le 12.04.2017
belle photo ,ma femme aussi quant elle a chaud elle porte pas de ******* sous c'est mini jupe ou robe une salo
Par coco3255, le 12.04.2017
Date de création : 12.09.2016
Dernière mise à jour :
12.04.2017
4 articles
L’Amphithéâtre
Cela s’est passé en Juin 2012, le jour de la « Journée sans culotte ». Le 22 Juin pour être exacte.
Je m'appelle Stéphanie et je suis étudiante à l'université de Rennes.
On dit de moi que je suis une très belle jeune fille et j’aime m’habiller assez sexy. Bottes en cuir, collants ou bas comme hier soir, mini-jupe, chemisier laissant apparaître une belle poitrine. Et donc, ce jour-là, je m’habille comme tous les jours, puis, au moment de sortir, je m’arrête près du calendrier et je m’aperçois que c’est la "Journée sans Culotte". Aussitôt, je l’enlève et sort tout naturellement. Mais, en passant devant une vitrine, je m’aperçois à quel point je suis court vêtue, et que, si je n’y prends garde, tout le monde verra mon intimité. À partir de là, je fais très attention à qui est devant et surtout derrière moi. Tout en marchant jusqu’au campus, je repense à mon emploi du temps de la journée. Le matin, 3 heures dans l’amphi, là ça va, les caissons sont fermés devant, donc je serais tranquille. Le midi cafeteria puis 2 heures à la bibliothèque universitaire avant de finir par 1 heure d’anglais. Bon, là, attention. J’arrive enfin à destination mais, comme j’ai marché prudemment, toutes les places du bas dans l'amphi sont occupées et je dois donc monter les marches, qui sont plutôt raides. Un rapide coup d’œil derrière moi, ouf, pas de mecs. Je fais attention quand même et finis par m’assoir, enfin rassurée. Malgré tout, je suis très excitée par la situation que je viens de vivre. Je me prépare à suivre la conférence tout en regardant qui est assis près de moi. À ma droite, une jeune étudiante de première année et à ma gauche, une jeune fille, une belle brune italienne, qui suit les mêmes cours que moi. La conférence commence et, soudain, une main vient se poser sur ma cuisse, puis remonte rapidement entre mes cuisses jusqu’à mon tendre minou, entièrement rasé, et déjà tout humide. C’est Alba, la chaude italienne, qui me suivait dans les marches et qui, bien sûr, a tout vu et profite de la situation. Les doigts agiles trouvent très vite le chemin vers mon bouton d’amour et la caresse se fait plus précise. Je dois contrôler ma respiration pour ne pas attirer l’attention. Donc, malgré moi, je dois laisser Alba me caresser et, en fait, la situation m’excite au plus haut point. J’écarte mes cuisses pour laisser tout loisir à ma voisine de me fouiller. Un doigt, puis deux s’introduisent dans ma chatte toute humide et un lent va-et-vient commence, augmentant encore mon plaisir. Le banc de bois vernis, sur lequel je suis assise, est déjà trempé. Certainement qu’il y a aussi des traces humides sur le sol, tellement je suis excitée. Mais l’autre continue son va-et-vient, s’arrête quand elle me sent prête à partir, puis reprend sa caresse, inlassablement. Il me semble que ça dure depuis des heures alors que cela fait à peine 30 minutes.
La conférence continue, bien sûr, et les lumières s’éteignent afin de pouvoir diffuser un PowerPoint, un diaporama.
Aussitôt, la belle italienne remonte ses doigts humides dans ma bouche afin que je les lèche, puis, une fois secs, elle descend sa main sur ma poitrine, défait les 3 boutons qui la gêne et glisse sa main sur mon sein, le sort du soutien-gorge, ensuite l’autre. Entre ses doigts experts, elle titille mon téton tandis que sa bouche s’occupe de l’autre. Surprise, je n’ai rien pu faire et, en fait, j’adore ça. Je me laisse sucer les tétons, et même, je pose ma main sur les cheveux d’ébène de ma nouvelle amie et je lui caresse la tête, tendrement. La belle italienne s’occupe ensuite de l’autre téton avec sa langue experte et sa main libre redescend entre mes cuisses pour reprendre là où elle s’était arrêtée. Cela dura trente minutes et nous avons bien failli nous faire surprendre par la lumière qui se rallumait. Heureusement que la belle italienne, toute au plaisir qu’elle me distillait, gardait une oreille attentive à ce qui se passait autour d’elle. J’ai tout juste eu le temps de rentrer ma poitrine et de le rajuster avant que la salle ne soit complètement allumée. Comme nous nous trouvions au dernier rang, tout en haut, personne ne pouvait se douter de ce qui se passait entre nous. La conférence continua et Alba reprit sa caresse entre mes cuisses, s’arrêtant juste avant que je ne jouisse, marquait un petit temps d’arrêt puis reprenait de plus belle. Ne voulant pas être en reste, je glissais ma main gauche entre les cuisses musclées de ma voisine, après avoir soulevé sa jupe longue. La belle italienne ne se fit pas prier et, à son tour, elle écarta les cuisses pour faciliter la progression de mes doigts experts. Alba ne tarda pas à se rendre compte à quel point mes doigts expérimentés pouvaient lui donner du plaisir. À un moment de paroxysme, Alba ne put retenir un petit cri, à peine audible. Seule ma jeune voisine de droite sembla le remarquer, sans en comprendre la cause. Mais, à partir de ce moment-là, elle fut moins attentive à la conférence et un peu plus à ce qui se passait tout près d’elle. Peu après, Alba sortit ses doigts humides de ma chatte un peu vite et cela fit un petit bruit de succion. Les doigts de l’italienne, tout humides, brillaient dans la pénombre entre mes cuisses et là, la jeune fille comprit et se mit à rougir.
Je l’avais déjà rencontrée dans différents cours. Elle s’appelle Chloé, 19 ans, originaire d’un village dans l’est de la France et, vu comment elle rougit en comprenant ce qui se passe, certainement encore innocente, sans doute même vierge. Je remarque son émoi et, d’un regard complice, lui demande la plus grande discrétion. D’un coup de tête elle acquiesça. Rassurée, je me replongeais dans mon plaisir et celui que je prodiguais si généreusement. Un peu plus tard, en la regardant, je compris qu’elle se caressait aussi. D’un signe, je lui demandais de s’approcher de moi, ce qu’elle fit volontiers, et aussitôt ma main plongea entre ses cuisses pour remplacer sa petite main inexpérimentée. Un peu réticente, deux secondes, puis elle ouvrit les cuisses, me laissant le champ libre. Alba, de l’autre côté, ne se rendit compte de rien, toute à son plaisir.
La conférence arrivait à sa fin, les doigts s’activèrent un peu plus vite sous les jupes des jeunes filles jusqu’à la jouissance ultime. Je fus la première, Alba ensuite et Chloé pour finir. Celle-ci se mordit la lèvre très fortement pour ne pas hurler son plaisir. Elle resta prostrée de longues minutes, contrairement à Alba qui sortit rapidement, sans doute pour aller aux toilettes. Je rangeais mes affaires, jetais un coup d’œil ravi sur Chloé, toujours prostrée sur son banc, et sortis de l’amphi, non sans avoir lancé quelques commentaires sur le sujet de la conférence à mes amies qui avaient trouvé une place dans les premiers rangs. Je demandais à l’une d’entre elles de me faire passer ses notes prises au cours de la conférence afin de compléter les miennes. (Lol)
La cafeteria
Lentement, je rejoignais la cafeteria afin de reprendre des forces pour l’après-midi qui s’annonçait plus studieuse. Heureusement, il n’y avait pas beaucoup de vent ce jour-là, tout juste une petite brise qui rafraichissait mon entrejambe.
« Quelle délicieuse sensation de sentir le vent s’introduire partout ».
Après avoir choisi mon repas, il fallait trouver une place pour s’assoir. Sûrement pas face à la grande baie vitrée. Trop risqué aujourd’hui. Je trouvais une table simple, légèrement à l’écart. À peine assise, je fus rejointe par Chloé, revenue de ses émotions, enfin presque. La jeune fille ne put sortir un mot. D’un regard suppliant, elle demanda la permission de s’assoir en face de moi. Bien sûr, j'acceptais d’autant plus que cela me donnait un rempart supplémentaire. Le repas se passa en silence dans le brouhaha ambiant. Pas un mot ne fut échangé entre nous deux.
Nous sentions que quelque chose se passait, là entre nous deux. Soudain, je sentis le pied gainé de nylon de ma jeune amie se glisser de force entre mes cuisses que je maintenais bien serrées. Après quelques minutes, je les écartais, vaincue par le désir et la volonté farouche de Chloé. La jeune innocente portait des bas, j'avais pu le vérifier dans l’amphi. La caresse se fit plus précise.
Je ne pus m'empêcher de caresser ma poitrine, discrètement. Je sentis comme une décharge électrique quand j'effleurais mon téton. Sans un mot, sur un regard, nous nous sommes levées, avons pris nos affaires et sommes allées vers les toilettes des filles. Personne, (chance?).
Chloé me poussa dans un box, ferma la porte derrière elle, se mit à genoux immédiatement et glissa sa tête sous ma jupe et entreprit maladroitement de me rendre avec sa bouche le plaisir que je lui avais donné avec mes doigts. Elle apprenait très vite et, en quelques minutes seulement, elle sut me faire jouir. Je hurlais de plaisir, enfin. Elle ne perdit pas une goutte du jus d’amour qui coulait entre mes cuisses. Elle agrippa mes deux fesses et enfonça sa langue très profondément. Elle lécha et suça si bien que je jouis à nouveau, sans un cri cette fois.
Plus de voix, trop de bonheur d’un coup. Doucement, nous nous remirent de nos émotions, nous rajustèrent puis sortirent nous rafraichir le visage dans le lavabo.
La bibliothèque
Il était l’heure de se quitter pour nous car nous n'avions pas les même cours ensuite. Je rejoignis la bibliothèque universitaire pour travailler à mon mémoire, non sans avoir donné rendez-vous à Chloé, vers 17 heures 15 près de l’entrée de la cafeteria. Deux heures de tranquillité, seule à la bibliothèque, c’était tout ce que je désirais pour me remettre des émotions de la matinée. Je m’installais à une table, le long d’un mur, avec les ouvrages dont j'avais besoin et commençais à recueillir les informations nécessaires à mon document.
« Enfin tranquille » pensais-je.
C’était sans compter sur la fougue de la belle Alba, qui en redemandait plus encore. Vu que nous avions les mêmes cours, elle savait où me trouver. Je sentis une présence dans mon dos et reconnus le parfum de mon amie italienne. D’un regard, elle me fit me lever et m’entraina dans un dédale de rayonnages, loin de tout passage, me força à me mettre à genoux devant elle avant de passer sa longue jupe par-dessus ma tête. Elle s’adossa à une étagère et prit un livre. Puis elle se plongea dans son livre si bien que, de loin, personne ne pouvait soupçonner ce qui se passait sous sa jupe. Elle posa une main sur ma tête. J'avais très bien compris ce que l’on attendait de moi et je me mis à la lécher, titiller son clitoris, très gros, et sucer ses lèvres intimes. Tout comme moi, elle ne portait rien sous sa jupe longue. Dès qu’elle se sentait prête à jouir, elle écartait ma tête, puis la laissait reprendre son ouvrage.
Cela aurait pu durer des heures si Alba n’avait pas prévu une petite surprise pour sa complice de jeux érotiques. En effet, la belle italienne vivait à la cité universitaire avec une compatriote qui partageait les mêmes jeux qu’elle dans l’intimité de leur petite chambre. Et c’est cette amie très chère qu’elle attendait. Elles avaient mangé ensemble le midi et avaient concocté ce piège pour moi. Annalisa arriva enfin. Sans un mot, elle se glissa derrière son amie afin de prendre sa place. Alba se dégagea sur le côté, souleva sa jupe pour me libérer. Je compris très vite ce qui se passait en voyant la jupe à fleurs se soulever à son tour, laissant apparaitre un pubis très poilu, avant de retomber sur mes épaules. La jeune fille avait aussi ôté sa culotte dans les toilettes en entrant à la bibliothèque. Si bien qu’elle était prête à recevoir ma bouche qui ne se fit pas prier. Je promenais ma langue sur la chatte poilue, lissant les poils très noirs, et la jeune italienne ne tarda pas à mouiller abondamment. Ce qui différenciait le plus les deux complices, c’était leur poitrine. Celle d’Alba était déjà très bien mais Annalisa avait une de ces poitrines voluptueuses à damner tous les saints et les saintes. Et Alba adorait cette poitrine, l’enviait même. Elle défit le corsage de son amie, libéra les deux globes du soutien-gorge et se mit à les embrasser, les caresser, les lécher tout partout, titiller ses tétons énormes qui durcissaient sous la caresse. La sentant prête à venir, je lui agrippais les deux fesses bien dodues, les écartais et glissais un doigt puis deux dans son anus, doigts que j'avais pris soin de bien mouiller auparavant entre les lèvres trempées. Annalisa sembla réticente à cette intrusion, mais très vite, elle s’abandonna au plaisir et, Alba, qui la sentant venir, plaqua sa bouche contre la sienne pendant qu’elle explosait littéralement de plaisir. Son corps tremblait très fort, ses jambes pouvaient à peine la porter. Heureusement que ses amies la soutenaient, l’une la serrant dans ses bras et l’autre par en-dessous, finissant de lécher le jus d’amour qui coulait sur ses cuisses et ne s’arrêtant que quand elle fut bien sèche.
Il nous fallut de longues minutes pour nous remettre de nos ébats, épuisées que nous étions, mais heureuses.
Personne n'avait rien vu, ni entendu.
Le cours d’anglais
C’est moi qui réagit la première en voyant ma montre. Les deux heures avaient semblées dix minutes et je tenais absolument à entrer la première dans la salle où devait se dérouler mon dernier cours de la journée, un cours d’anglais. Je savais que les tables de cette salle n’étaient pas fermées devant et je tenais à me placer au premier rang, afin d’éviter les remarques de mes camarades qui ne manqueraient de s’apercevoir que je ne portais rien sous ma minijupe. Devant, seule la prof pourrait voir quelque chose, et encore, pas sûr. J'arrivais effectivement la première dans la salle et je pus choisir ma table, face au bureau. Mes camarades entrèrent à leur tour et personne ne remarqua mon trouble. Enfin tranquille. La prof arriva et commença son cours. Cindy est une belle jeune femme, anglaise, à la peau très blanche, presque laiteuse et qui semblait assez "coincée". D’habitude toujours habillée très strict, elle portait en cette belle journée de début d’été, une belle robe rouge, boutonnée devant, légèrement moulante, qui laissait deviner ses formes. Comme elle passait près de moi, je remarquais qu’elle devait porter un string, ou peut-être rien du tout comme moi, tellement ses fesses étaient moulées par le tissu. Son parfum, à base de jasmin, m'enivra et je commençais à imaginer la belle Cindy faisant un striptease devant toute la classe éberluée. Cindy retourna s’assoir derrière son bureau pour laisser aux élèves le temps de faire l’exercice qu’elle venait de leur donner. Toute à mes pensées lubriques, je m’étais un peu laissée aller sur ma chaise et mes cuisses s’étaient légèrement écartées. Tout à fait par hasard, le regard de la belle anglaise plongea entre mes cuisses et, instantanément, elle se mit à rougir en détournant le regard. Personne ne se rendit compte de son émoi. Cindy répondait aux questions qu’on lui posait mais toujours son regard revenait sous la table face à elle. Avait-elle bien vu ? N’avait-elle pas rêvé cela ? Bien sûr, je finis par remarquer son manège mais, au lieu de refermer le compas de mes cuisses, je les écartais encore plus si bien que la belle anglaise fut certaine, cette fois, que je ne portais rien sous ma jupe. Loin de la faire rougir comme tout à l’heure, cette certitude sembla au contraire l’émoustiller. Elle devint toute souriante, lâchant même quelques plaisanteries, de celles qui ne font rire que les anglais, bien sûr. Le reste du cours, elle le passa le plus souvent assise à son bureau, profitant de la vue. Je faillis, un instant, glisser ma main entre mes cuisses pour me caresser mais, la fin du cours arrivait et j'étais déjà trempée. Certainement que mes lèvres intimes luisaient sous la table et Cindy ne pouvait ignorer l’état dans lequel je me trouvais. Tout le monde sortit à la fin du cours, seule je pris un peu plus de temps pour ranger mes affaires. "Quelle journée!" me dis-je, me préparant à sortir mais, arrivée à la porte, Cindy me rappela sous un prétexte bidon, afin que la salle soit entièrement vide, puis referma la porte doucement. Sans un mot, elle glissa sa main droite sous ma minijupe et commença à me caresser, me plaquant contre la porte. Ainsi, personne ne pouvait nous voir, ni entrer dans la salle. Elle posa sa bouche sur la mienne et m’embrassa langoureusement, avec tendresse. Cindy s’agenouilla devant moi et sa langue habile vint remplacer ses doigts et là, enfin, je me lâchais, posant mes deux mains sur la tête de la prof, la forçant à tout boire, jusqu’à la dernière goutte. Ce fût une tornade de plaisir pour l’une comme pour l’autre qui nous laissa prostrées de longues minutes.
La soirée
Je sortis la première, encore toute étonnée de ce qui venait de se passer sous ma jupe. Je rejoignis, comme convenu, Chloé près de l’entrée de la cafeteria et, ensemble, nous regagnèrent mon appartement, tout près de là. En chemin, nous avons fait plus ample connaissance mais, une fois la porte fermée, nous nous sommes déshabillées l’une l’autre et ce fut ma plus longue nuit de "baise". Au petit matin, nous avons pris le petit déjeuner sans savoir comment se quitter, quand je lui proposais d’habiter avec moi les deux semaines qui restaient avant les vacances. Bien sûr, Chloé accepta. Deux semaines de fureur de vivre s’ensuivirent.
Je passais mes examens de fin d’année avec succès, comme toujours, mais Chloé se loupa et donc dut repartir chez elle.
belle photo ,ma femme aussi quant elle a chaud elle porte pas de ******* sous c'est mini jupe ou robe une ****** parfaite sa mecxite et elle aussi ont adore baiser dans la nature
merci pour ton commentaire, coco3255
heureusement que la journée sans ******* se situe au moi de Juin
depuis ma première fois, je sors souvent sans *******
et j'adore ça
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